Augmentation des AVC chez les personnes âgées de moins de 65 ans en France
L’InVs (Institut de veille sanitaire) a fait une étude sur les personnes victimes des accidents vasculaires cérébraux (AVC) de 2002 à 2008, et s’est rendu compte que pendant cette période, leur nombre était légèrement en diminution chez les personnes qui ont de plus de 65 ans. Par contre, celles qui étaient en-dessous de cet âge étaient de plus en plus hospitalisées pour ce genre de problème de santé.
L’AVC se présente comme un défaut de circulation sanguine au niveau d’une zone du cerveau. Il apparait après la mort de cellules nerveuses, due à une privation d’oxygène et d’éléments nécessaires à leur fonctionnement, une situation qui s’observe après qu’un vaisseau sanguin soit endommagé. Les crises d’AVC ne sont généralement pas précédées par des signes précurseurs, et la plupart des gens qui en sont victimes en sont marqués à vie. Seulement 1 personne sur 10 à la chance de retrouver tous ses moyens à la suite d’un AVC.
L’InVS s’est basé sur les données nationales concernant les hospitalisations annuelles de patients en court séjour pour cause d’AVC. L’institut a conservé les observations sur le diagnostic principal de chaque patient et n’a considéré que leurs premiers séjours annuels. Il a ensuite analysé les tendances par régression de Poisson (utilisation de données de comptage et de tableau de contingence pour faire des statistiques), en se référant aux chiffres standards. C’est ainsi qu’il a été constaté une diminution globale de -2,6% des taux d’hospitalisation pour AVC. Cependant, en comparaison avec les chiffres standards, le taux d’hospitalisation des personnes âgées de plus de 65 ans a connu une réduction de 674,6 à 630,3 pour 100 000 habitants, soit une diminution de -6,6%. Les observations montrent aussi que chez les gens qui ont moins de 65 ans, les chiffres ont augmenté de 37,1 à 41,1 pour 100 000 habitants, ce qui équivaut à +10,8%.
Les scientifiques de l’InVs se sont servis de cette étude pour détecter les raisons qui sont à la base des AVC. Pour eux l’avancée de l’âge, une alimentation qui n’est pas faite de fruits et de poisson, le tabagisme, l’hypercholestérolémie, l’insuffisance des activités physiques et l’hypertension artérielle sont autant de facteurs qui sont à 90% impliqués dans la survenue des AVC. Mais après avoir mené son étude, une remarque importante a été faite par l’InVs. Il a identifié des cas d’AVC issus de maladies courantes et qui seraient même en hausse. Il s’agit de l’obésité et l’institut informe que 10,1% des patients adultes de l’AVC en souffrait en 2000. Ce chiffre est passé à 14,5% en 2009. Il n’y a cependant pas que l’obésité qui préoccupe l’InVs, concernant les maladies pouvant favoriser un AVC. Le diabète est mis en cause et l’institut a fait état d’une augmentation de 69% pendant la période de l’étude. Ce qui revient à dire que pour lutter contre les AVC, il faut commencer par adopter une hygiène de vie qui permettra d’éviter ces maladies.
L’AVC se présente comme un défaut de circulation sanguine au niveau d’une zone du cerveau. Il apparait après la mort de cellules nerveuses, due à une privation d’oxygène et d’éléments nécessaires à leur fonctionnement, une situation qui s’observe après qu’un vaisseau sanguin soit endommagé. Les crises d’AVC ne sont généralement pas précédées par des signes précurseurs, et la plupart des gens qui en sont victimes en sont marqués à vie. Seulement 1 personne sur 10 à la chance de retrouver tous ses moyens à la suite d’un AVC.
L’InVS s’est basé sur les données nationales concernant les hospitalisations annuelles de patients en court séjour pour cause d’AVC. L’institut a conservé les observations sur le diagnostic principal de chaque patient et n’a considéré que leurs premiers séjours annuels. Il a ensuite analysé les tendances par régression de Poisson (utilisation de données de comptage et de tableau de contingence pour faire des statistiques), en se référant aux chiffres standards. C’est ainsi qu’il a été constaté une diminution globale de -2,6% des taux d’hospitalisation pour AVC. Cependant, en comparaison avec les chiffres standards, le taux d’hospitalisation des personnes âgées de plus de 65 ans a connu une réduction de 674,6 à 630,3 pour 100 000 habitants, soit une diminution de -6,6%. Les observations montrent aussi que chez les gens qui ont moins de 65 ans, les chiffres ont augmenté de 37,1 à 41,1 pour 100 000 habitants, ce qui équivaut à +10,8%.
Les scientifiques de l’InVs se sont servis de cette étude pour détecter les raisons qui sont à la base des AVC. Pour eux l’avancée de l’âge, une alimentation qui n’est pas faite de fruits et de poisson, le tabagisme, l’hypercholestérolémie, l’insuffisance des activités physiques et l’hypertension artérielle sont autant de facteurs qui sont à 90% impliqués dans la survenue des AVC. Mais après avoir mené son étude, une remarque importante a été faite par l’InVs. Il a identifié des cas d’AVC issus de maladies courantes et qui seraient même en hausse. Il s’agit de l’obésité et l’institut informe que 10,1% des patients adultes de l’AVC en souffrait en 2000. Ce chiffre est passé à 14,5% en 2009. Il n’y a cependant pas que l’obésité qui préoccupe l’InVs, concernant les maladies pouvant favoriser un AVC. Le diabète est mis en cause et l’institut a fait état d’une augmentation de 69% pendant la période de l’étude. Ce qui revient à dire que pour lutter contre les AVC, il faut commencer par adopter une hygiène de vie qui permettra d’éviter ces maladies.
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