Eviter les maladies cardiovasculaires en dormant pendant 6 à 8 heures
C’est sûr qu’après avoir pris connaissance des conclusions d’une enquête sur les problèmes de santé, entreprise dans plusieurs ménages américains, les gens ne dormiront plus comme avant. En effet, elle révèle que les risques d’être victime d’une maladie cardiovasculaire seraient plus grands, si on dort trop ou pas suffisamment.
L’étude a été menée par le National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES), sur une population de 3 000 personnes, âgées de plus de 45 ans. L’objectif de départ était de se faire une idée des soucis de santé dont sont victimes cette catégorie de personnes aux États-Unis. Mais, le NHANES fera un constat inattendu. Selon ses observations, les risques de maladies cardiovasculaires sont en augmentation, si on dort pendant plus de 8 heures chaque nuit. Aussi, on est également exposé à ces soucis de santé quand notre temps de sommeil est en-dessous de 6 heures. Ces conclusions ont été rendues publiques dimanche dernier au cours de la 61è conférence annuelle de l’American College of Cardiology, qui s’est tenue à Chicago.
Les risques de connaitre une maladie cardiovasculaire ne sont cependant pas les mêmes, selon qu’on dort peu ou trop. Ainsi, selon le NHANES, si on prend l’habitude de dormir plus de 8 heures par jour, on a 2 fois plus de chance d’être affecté par une angine de poitrine. On n’est pas non plus à l’abri des maladies coronariennes dont on courrait 1,1 fois le risque d’en être victime. Pour le Dr Rohit Arora, professeur à la faculté de médecine de Chicago et coordonnateur principal de cette étude, cette recherche leur permet d’avoir la certitude que le sommeil joue un rôle déterminant dans la survenue des maladies cardiaques. Il indique ainsi que le meilleur comportement dans ce sens est d’éviter les extrêmes, à savoir ne pas dormir trop longtemps, et ne pas non plus dormir pendant très peu de temps. Le meilleur timing de sommeil, pour dormir tout en préservant sa santé, doit être compris entre 6 et 8 heures par nuit.
Les révélations de cette étude vont dans le même sens que celles d’autres recherches qui avaient été faites dans le passé. Toutefois, le Dr Arora estime que les observations faites sur le temps de sommeil des personnes qui ont participé à cette enquête doivent faire l’objet d’une vérification. Il souhaiterait conduire des recherches cliniques sur le long terme pour avoir des éléments plus précis de l’impact du sommeil sur la survenue de maladies cardiovasculaires. Cette fois, il sera question d’élargir les investigations sur une population plus grande et de prendre en compte d’autres facteurs. Le Dr Arora ne veut surtout pas avoir de doute sur le fait que les personnes qui dorment assez soient les plus exposées à ces problèmes de santé, et ne voudrait pas que ces résultats soient influencés par le fait que plusieurs individus de l’échantillon enquêtée se plaignent de douleurs dans la poitrine, et qu’ils étaient dans le lot des gros dormeurs. En attendant que les études soient approfondies, on sait à présent dans quelle fourchette de temps on doit dormir la nuit pour éviter les maladies cardiovasculaires, en espérant que les révélations de cette enquête ne coupent carrément le sommeil à plus d’un.
L’étude a été menée par le National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES), sur une population de 3 000 personnes, âgées de plus de 45 ans. L’objectif de départ était de se faire une idée des soucis de santé dont sont victimes cette catégorie de personnes aux États-Unis. Mais, le NHANES fera un constat inattendu. Selon ses observations, les risques de maladies cardiovasculaires sont en augmentation, si on dort pendant plus de 8 heures chaque nuit. Aussi, on est également exposé à ces soucis de santé quand notre temps de sommeil est en-dessous de 6 heures. Ces conclusions ont été rendues publiques dimanche dernier au cours de la 61è conférence annuelle de l’American College of Cardiology, qui s’est tenue à Chicago.
Les risques de connaitre une maladie cardiovasculaire ne sont cependant pas les mêmes, selon qu’on dort peu ou trop. Ainsi, selon le NHANES, si on prend l’habitude de dormir plus de 8 heures par jour, on a 2 fois plus de chance d’être affecté par une angine de poitrine. On n’est pas non plus à l’abri des maladies coronariennes dont on courrait 1,1 fois le risque d’en être victime. Pour le Dr Rohit Arora, professeur à la faculté de médecine de Chicago et coordonnateur principal de cette étude, cette recherche leur permet d’avoir la certitude que le sommeil joue un rôle déterminant dans la survenue des maladies cardiaques. Il indique ainsi que le meilleur comportement dans ce sens est d’éviter les extrêmes, à savoir ne pas dormir trop longtemps, et ne pas non plus dormir pendant très peu de temps. Le meilleur timing de sommeil, pour dormir tout en préservant sa santé, doit être compris entre 6 et 8 heures par nuit.
Les révélations de cette étude vont dans le même sens que celles d’autres recherches qui avaient été faites dans le passé. Toutefois, le Dr Arora estime que les observations faites sur le temps de sommeil des personnes qui ont participé à cette enquête doivent faire l’objet d’une vérification. Il souhaiterait conduire des recherches cliniques sur le long terme pour avoir des éléments plus précis de l’impact du sommeil sur la survenue de maladies cardiovasculaires. Cette fois, il sera question d’élargir les investigations sur une population plus grande et de prendre en compte d’autres facteurs. Le Dr Arora ne veut surtout pas avoir de doute sur le fait que les personnes qui dorment assez soient les plus exposées à ces problèmes de santé, et ne voudrait pas que ces résultats soient influencés par le fait que plusieurs individus de l’échantillon enquêtée se plaignent de douleurs dans la poitrine, et qu’ils étaient dans le lot des gros dormeurs. En attendant que les études soient approfondies, on sait à présent dans quelle fourchette de temps on doit dormir la nuit pour éviter les maladies cardiovasculaires, en espérant que les révélations de cette enquête ne coupent carrément le sommeil à plus d’un.
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