Voici une vidéo pour vous expliquer ce que sont les jambes sans repos .............
jeudi 27 février 2014
Syndrome des Jambes sans repos
Voici une vidéo pour vous expliquer ce que sont les jambes sans repos .............
Un laboratoire pour lutter contre les troubles du sommeil
Nancy Beaulieu
La Voix de l'Est
(Saint-Alphonse) Les troubles d'apnée du sommeil qui augmentent en raison du vieillissement de la population et des problèmes d'obésité ont suscité l'apparition de services privés dans la région. Moyennant quelque 1500?$, les personnes souffrant de troubles de sommeil peuvent ainsi passer une nuit dans l'une des chambres du laboratoire de La clef du sommeil, à Saint-Alphonse, pour subir un examen complet.
«?On fait une analyse des stades de sommeil, du nombre d'arrêts de respiration et des baisses du taux d'oxygène dans le sang?», explique la copropriétaire de l'entreprise et inhalothérapeute Évelyne Desjardins.
Une trentaine de données sont enregistrées grâce à des électrodes et des capteurs posés sur le patient. À son arrivée au laboratoire, ce dernier est littéralement branché de toutes parts. «?Ça prend environ une heure pour tout installer?», indique Mme Desjardins.
Les premiers capteurs sont collés sur le devant du tibia. «?C'est pour vérifier le syndrome des jambes sans repos (mouvements involontaires des jambes), qui peut amener des micro-réveils et empêcher le patient d'accéder à un sommeil profond et de récupérer?», explique Mme Desjardins.
L'article complet dans La Voix de l'Est d'aujourd'hui.
La Voix de l'Est
(Saint-Alphonse) Les troubles d'apnée du sommeil qui augmentent en raison du vieillissement de la population et des problèmes d'obésité ont suscité l'apparition de services privés dans la région. Moyennant quelque 1500?$, les personnes souffrant de troubles de sommeil peuvent ainsi passer une nuit dans l'une des chambres du laboratoire de La clef du sommeil, à Saint-Alphonse, pour subir un examen complet.
«?On fait une analyse des stades de sommeil, du nombre d'arrêts de respiration et des baisses du taux d'oxygène dans le sang?», explique la copropriétaire de l'entreprise et inhalothérapeute Évelyne Desjardins.
Une trentaine de données sont enregistrées grâce à des électrodes et des capteurs posés sur le patient. À son arrivée au laboratoire, ce dernier est littéralement branché de toutes parts. «?Ça prend environ une heure pour tout installer?», indique Mme Desjardins.
Les premiers capteurs sont collés sur le devant du tibia. «?C'est pour vérifier le syndrome des jambes sans repos (mouvements involontaires des jambes), qui peut amener des micro-réveils et empêcher le patient d'accéder à un sommeil profond et de récupérer?», explique Mme Desjardins.
L'article complet dans La Voix de l'Est d'aujourd'hui.
mercredi 26 février 2014
Dysfonctionnement érectile: deux nouvelles causes, deux!
Dysfonctionnement érectile: deux nouvelles causes, deux!
Première cause.
«pression de concevoir».
Ceci concerne les couples qui souhaitent ardemment avoir un enfant. Ils prévoient la date probable d’ovulation, calculent les périodes de fécondité et organisent au mieux leurs rapports sexuels pour ces jours et ces nuits fatidiques. Puis ils attendent les premiers résultats, biologiques. Et recommencent autant de fois que nécessaire.
Tout ceci peut manquer de romantisme, de spontanéité. Le corps de l'homme s’exprime à sa manière avec, pour diagnostic : dysfonction érectile. Non pas impuissance mais impossibilité d’entrer en érection à l’heure dite.
«La perspective du coït obligatoire, ou comportement sexuel compulsif, fait naitre un état de stress chez l’homme, expliquent les auteurs. Le stress réduit la production de testostérone, ce qui a un impact direct sur la libido.»
Deuxième cause
Maintenir les voies respiratoires ouvertes!
Il apparaît notamment que près d’un homme sur deux (45%) des hommes âgés de moins de 60 ans et atteints de syndrome d’apnée du sommeil (SAOS) souffrent d’une dysfonction érectile.
Les résultats montrent que la thérapie par PPC a permis d’améliorer la fonction sexuelle et la satisfaction chez la majorité des hommes de l'étude. Et ce indépendamment du niveau de fonction érectile enregistré au début de l’étude
** moins on manque d’air et plus on peut se sentir le cœur léger.**
dimanche 23 février 2014
Nouvelle raison d'espérer un sommeil réparateur
Les personnes atteintes d'apnée du sommeil peut avoir une nouvelle raison d'espérer pour un sommeil de bonne nuit. La Division de la médecine du sommeil Harvard Medical School vient de lancer une nouvelle ressource en ligne pour les patients de cette maladie, avec de nombreuses informations sur les symptômes, l'impact personnel et social, le diagnostic et le traitement de l'apnée obstructive du sommeil. Le site peut être trouvé à
samedi 22 février 2014
Expert en apnée du sommeil,Patrick Lévy , chercheur et médecin de réputation mondiale
Patrick Lévy, Président de l'université Joseph Fourier, spécialiste de l'apnée du sommeil reconnu a l'international , il est docteur en médecine , pneumologue.
La reconnaissance internationale l' a conduit a exercer des responsabilités nationales au sein des sociétés scientifiques européennes et américaines.
Il a été professeur invité dans plusieurs universités ( Harvard, Pennsylvanie, Sydney, Melbourne et Hong Kong .
lundi 17 février 2014
Un mal sournois qui frappe ......
ses victimes pendant leur sommeil, l'apnée peut avoir de lourdes répercussions sur la vie quotidienne.
Le syndrome d'apnée du sommeil concerne aujourd'hui 5 à 7% des Français.
Il se manifeste par des symptômes nocturnes (ronflements, arrêts respiratoires), le plus souvent perçus par le conjoint, et surtout par des symptômes diurnes : somnolence, trouble de l'attention. Un apnéique peut se réveiller 100, 200, jusqu'à 500 fois par nuit, sans être conscient de ces micro-éveils qui durent de une à vingt secondes. Les hommes sont trois fois plus touchés que les femmes.
Le premier pic de prévalence se situe vers 45-55 ans, avec une croissance linéaire depuis la vingtaine. Un second pic concerne les plus âgés, vers 75 ans, avec une forme un peu différente du syndrome.
L'apnée du sommeil provient de la fermeture du pharynx due à la taille anormale des voies aériennes lors de l'inspiration. Il peut y avoir plusieurs causes.
L'une d'elles est la surcharge pondérale (un apnéique sur deux), avec des infiltrations graisseuses dans les tissus des voies aériennes. Le ronflement lui-même tend à déformer le voile et la luette. D'autres sujets souffrent d'une petite déformation maxillo-faciale, le recul de la mandibule suffisant à déclencher le trouble. Il existe enfin des origines neurologiques, avec une atteinte des commandes nerveuses et musculaires des voies aériennes.
somnolence et risque cardio-vasculaire
Outre la somnolence diurne, très handicapante, l'apnée du sommeil est associée à une aggravation des risques cardio-vasculaires, en raison de la mauvaise oxygénation nocturne. Il existe un lien entre la sévérité de l'apnée et la survenue des troubles (infarctus, hypertension), surtout jusqu'à la cinquantaine.
La consultation et le traitement sont donc indispensables. 20% seulement des apnéiques sont soignés aujourd'hui : donc 80% des malades ignorent leur trouble. Le traitement de première ligne est la pression positive continue, un masque assurant la bonne ventilation.
Bien que l'appareillage semble lourd, les patients le tolèrent bien. En raison du bénéfice apporté, on note 75% d'observance, un record pour les traitements chroniques. 200 000 personnes suivent aujourd'hui ce traitement en France. Une solution pour certaines apnées réside dans l'orthèse d'avancée mandibulaire, un appareil dentaire qui libère les voies aériennes. Mais il suppose des dents et des gencives en bon état.
Quant à la chirurgie, elle réduit éventuellement le ronflement, mais ne donne pas de résultats probants sur l'apnée. Les interventions les plus lourdes (maxillo-faciales) n'excluent pas les rechutes. Et les plus légères (chirurgie laser du voile) peuvent même contrarier les futurs traitements de l'apnée.
* Patrick Lévy est professeur de médecine au CHU de Grenoble, président de l'Institut national du sommeil et de la vigilance.
Il se manifeste par des symptômes nocturnes (ronflements, arrêts respiratoires), le plus souvent perçus par le conjoint, et surtout par des symptômes diurnes : somnolence, trouble de l'attention. Un apnéique peut se réveiller 100, 200, jusqu'à 500 fois par nuit, sans être conscient de ces micro-éveils qui durent de une à vingt secondes. Les hommes sont trois fois plus touchés que les femmes.
Le premier pic de prévalence se situe vers 45-55 ans, avec une croissance linéaire depuis la vingtaine. Un second pic concerne les plus âgés, vers 75 ans, avec une forme un peu différente du syndrome.
L'apnée du sommeil provient de la fermeture du pharynx due à la taille anormale des voies aériennes lors de l'inspiration. Il peut y avoir plusieurs causes.
L'une d'elles est la surcharge pondérale (un apnéique sur deux), avec des infiltrations graisseuses dans les tissus des voies aériennes. Le ronflement lui-même tend à déformer le voile et la luette. D'autres sujets souffrent d'une petite déformation maxillo-faciale, le recul de la mandibule suffisant à déclencher le trouble. Il existe enfin des origines neurologiques, avec une atteinte des commandes nerveuses et musculaires des voies aériennes.
somnolence et risque cardio-vasculaire
Outre la somnolence diurne, très handicapante, l'apnée du sommeil est associée à une aggravation des risques cardio-vasculaires, en raison de la mauvaise oxygénation nocturne. Il existe un lien entre la sévérité de l'apnée et la survenue des troubles (infarctus, hypertension), surtout jusqu'à la cinquantaine.
La consultation et le traitement sont donc indispensables. 20% seulement des apnéiques sont soignés aujourd'hui : donc 80% des malades ignorent leur trouble. Le traitement de première ligne est la pression positive continue, un masque assurant la bonne ventilation.
Bien que l'appareillage semble lourd, les patients le tolèrent bien. En raison du bénéfice apporté, on note 75% d'observance, un record pour les traitements chroniques. 200 000 personnes suivent aujourd'hui ce traitement en France. Une solution pour certaines apnées réside dans l'orthèse d'avancée mandibulaire, un appareil dentaire qui libère les voies aériennes. Mais il suppose des dents et des gencives en bon état.
Quant à la chirurgie, elle réduit éventuellement le ronflement, mais ne donne pas de résultats probants sur l'apnée. Les interventions les plus lourdes (maxillo-faciales) n'excluent pas les rechutes. Et les plus légères (chirurgie laser du voile) peuvent même contrarier les futurs traitements de l'apnée.
* Patrick Lévy est professeur de médecine au CHU de Grenoble, président de l'Institut national du sommeil et de la vigilance.
Traitement de l'apnée du sommeil , amélioration de la structure de la fonction cardiaque .....
L'utilisation d'un appareil respiratoire pour traiter l'apnée du sommeil peut améliorer la fonction cardiaque et peut prévenir l'insuffisance cardiaque, selon des chercheurs britanniques
Pour traiter la maladie, les médecins prescrivent un traitement connu sous pression positive continue, ou CPAP. Il utilise un masque pour forcer doucement l'air dans les voies respiratoires, les garder ouverts.
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